Dans le langage journalistique, un marronnier est non seulement un fait qui revient régulièrement mais auquel on ne peut échapper car il fait de l’audience.
Dans la vie de chacun, il y a des marronniers. Elles prennent souvent la forme de contraintes et donnent l’impression qu’on est enfermé dans un cycle d’obligations qui ne finira jamais et qu’on subit en faisant semblant, en quelque sorte mais dont on bénéficie aussi puisqu’on en a des bénéfices secondaires, comme le fait de ne pas être trop seul ou d’être considéré comme trop moche ou… bref, c’est selon.
Mais on peut se délester de cela. On a déjà abordé ce thème dans une ancienne question du lundi. Dire non quand on a envie de dire non ; dire oui quand on a envie de dire oui. Le chemin de la liberté intérieure est long, son climat est assez aride mais on acquiert une richesse qui ne peut pas toujours se quantifier.
D’où la question du lundi : Se délester, pour vous, c’est pas besoin, pas encore commencé, en cours mais c’est pas gagné, en bonne voie, terminé ?
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La question du lundi. Se délester, encore et encore.
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La question du lundi. Du rangement des papiers administratifs.
Le confinement a des bons côtés, dont celui d’avoir du temps pour ranger. Justement, en en parlant avec des amis rencontrés tout à fait par hasard au supermarché et au marché mais dûment masqués et pour certains gantés, nous avons évoqué tout ce que nous avions pu ranger ces derniers mois. Armoires, commodes, caves, greniers, garages, photographies, tiroirs, et bien évidemment, papiers administratifs. Certains utilisent pour cela des boîtes métalliques, d’autres des boîtes d’archives cartonnées, d’autres des caissons à dossiers suspendus mais chez tous on retrouve les étiquettes et les pochettes à élastiques.
D’où la question du lundi : comment rangez-vous tous les papiers administratifs ?